Jour de cérémonie Le grand aurore arrive en dernier lieu. Dès l’aube, la spectateur polyvalente vibre d’une effervescence joyeuse. Olivier et Noémie, arrivés tôt, procurent agglutiner les stands où s’installent multiples associations complices de jolie voyance : noyau d’entraide pour jeunes femmes en complication, collectif d’artisans locaux, librairie solidaire… Les banderoles s’affichent au mur, vantant les mérites de la voyance gratuite et de l’entraide mutuelle. Dans un point, Baptiste s’occupe de la sonorisation, prévoyant neuf ou 10 musiques douces pour accompagner les services. Très vite, les premiers consommateurs affluent. Certains sont d’anciens consultants du cabinet, content de rencontrer l’équipe hors contexte de seance en audiotel. D’autres ont normalement repéré l’événement sur les réseaux et descendent par attention. Le domaine “jolie voyance gratuite” attire les regards : de multiples bénévoles informent le révélé sur les modalités du programme, expliquant de quelle façon il n'est pas compliqué de jouir d’une consultation au telephone lorsque l’on traverse des difficultés financières. Les gens semblent surpris de regarder la voyance consacrer cette forme si clair et de l'homme. Pendant cette époque, Camille accueille les conférenciers pour la table ronde. Elle a convié un travailleur économique, une personne possédant bénéficié de jolie voyance gratuite, donc qu’un inspirer d’insertion experte. Le désaccord s’anime autour de la question : “Quel histrion peut malaxer la voyance solidaire dans la reconstruction de soi ? ” Les intervenants soulignent le complémentarité entre un accompagnement financier ancien et l’espace introvertie qu’offre la voyance. Les témoignages indiscutables suscitent de quelques applaudissements, comme par exemple quand l’ex-bénéficiaire confie de quelle façon une facile séance par téléphone a ravivé son estime de toi. De son côté, Marianne coordonne l’ensemble avec une sûreté remarquable. On la voit décamper d’un partie à bien l’autre, communiquer avec les clients, s’assurer que tout se déroule à merveille. De faits à autre, elle retrouve Olivier ou Noémie pour vérifier la logistique. L’ambiance est en harmonie studieuse et festive. Dans un jolie voyance recoin de la auditeur, une harpiste joue neuf ou 10 notes, élaborant un fond sonore apaisant qui contraste avec le scandale du dehors. Au milieu de la matinée, un journaliste local geste son clé, enthousiasmé par la fiançailles d’un nouba atypique. Il intéresse Marianne sur la démarche de jolie voyance, intrigué par l’idée qu’un cabinet puisse présenter de la voyance gratuite et s’engager socialement. La directrice satisfait avec sincérité, insistant sur l’importance de proposer l'accession immense à la voyance, sans la priver de son mystère ni de son style de la mode. Elle vise à que l’initiative inspirera d’autres villes à innover. L’après-midi voit se succéder des manufacture communications. On y découvre le jeu de cartes créatif avec Noémie, le tai chi guidée par Baptiste, ou un fabrique d’écriture naturelle animé par Olivier. Les participants, souvent novices, s’émerveillent de la incidence thérapeutique de ces bonnes pratiques. Sur les têtes, on lit de siècles en temps de l’émotion, certaines fois un émerveillement enfantin. La position circule librement, chaque personne épousant ses découvertes et ses perçus. À la fin habituels, alors que la généralité se disperse, l’équipe se réunit à proximité d’une table improvisée pour ressentir une occasion de paix. Les faciès sont rayonnants, nonobstant la persécution. Marianne lève son cristal ( de jus de fruit ) et s’exclame, la voix vibrante : “Nous avons prouvé aujourd’hui qu’une voyance solidaire est faisable, et qu’elle est en capacité de émouvoir le cœur de tous. ” Ses signes résonnent comme une consécration. La nuit tombe, et dans l’air flotte une douce force attractive, celle de la de fiançailles vie d’un partage approfondie et passionné.